Objectif : hôtel-restaurant Foulquier
14 bis avenue Victor Hugo 12300 Decazeville
Nous repartons de Conques.
Arrivés à 16h00 à Decazeville. Tout est fermé, car nous sommes lundi de Pâques. Nous y retrouvons Pierre le Suisse qui loge au même hôtel que nous, qui n’ouvre qu’à 18h. En attendant, seul un cybercafé est ouvert. Pierre a le mot juste. Au cimetière, il y a sans doute plus d’activité qu’en ville…
La ville a eu ses heures de gloire au temps des exploitations minières. Il n’y a plus d’industries et la pauvreté s’est durablement installée. L’inactivité des jeunes est visible. Partout, les murs deviennent leur exutoire avec des tags qui reflètent leur rage d’exister; L’hôtel deux étoiles a lui aussi dû avoir ses heures de gloire dans les années 80. A présent la moquette est fanée, voire manquante sur certaines marches d’escalier. Seul investissement récent : la télé à écran plat. Le radiateur électrique ne fonctionne plus. Une lampe de chevet non plus. Mais on a pu dormir, c’est l’essentiel. Le restaurant chinois a côté de l’hôtel est ouvert!! Nous prenons une bonne soupe chaude et de bons plats fumants de canard et de crevettes aux champignons. Un délice.
Chers amis
J’ai lu avec beaucoup d’intérêts toutes vos publications. De l’organisation de ce périple, de vos motivations, du choix du matériel, de l’organisation du circuit et de l’intendance de la maison.
De la tondeuse qui tombe en panne juste avant le départ (je vous rassure le jardin est beau), au tuyau d’arrosage automatique qui fait plus de dégâts que ne rends de service (là aussi, la voisine fait ce très bien !)
Bien aimé aussi, la nuit avant le départ à ne savoir quoi sortir des sacs …
Puis le départ sur les premiers chemins sinueux – très belles photos – très belles descriptions – un plaisir à vous lire !
Étonnée un peu que vous soyez si peu nombreux sur ce parcours – j’aime bien votre ami « Pierre » le Suisse, que vous retrouvez avec un petit temps de retard … le rythme suisse !
Globalement vous avez un accueil bien sympa dans les auberges et je crois de très bons repas. C’est une bonne chose pour de telles étapes.
Petit bémol : Michel son tendon – sa cheville … le mal, le doute … une étape chez un médecin de campagne (il faisait aussi vétérinaire peut être ?) … mais Michèlle était là pour massage et soins …. Ah si « les femmes n’existaient pas » !!!
Je me réjouis que se sois arrangé ainsi. J’ai hâte de connaître la suite de votre périple.
Bon courage – à bientôt pour d’autres commentaires – Amitiés- Josiane
Nous sommes rentrés à Moosch hier soir après un mois d’absence et venons de suivre votre pélerinage sur internet. Nous vous souhaitons beaucoup de courage et de persévérance pour votre périple. La semaine dernière nous sommes passés à Bénéven l’Abbaye qui se trouve sur un des chemins de Compostelle.